Nom: Thoring
Prénom:Sigvahad
Âge: 17 ans
Race: Homme
Rang: aucun
Physique: Sigvahad est un homme de grande taille aux long cheveux roux ebouriffés. Il a les yeux bleus montrant son appartenance certaine aux clans du nord. il a un visage souriant tojours prêt à rire et ce sourire, accompagné à ses yeux d'un bleu profond lui donnent un certain charme. Assez fluet dans l'ensemble, il n'a pas une large carrure semblable à celle de ses compatriotes viking. il possède une grande main aux long doigt mince mais puissant. Sa peau est assez clair balayé par les vents froid de son enfance. Ses jambes, longues mais fortes lui donnent une rapidité à courir que l'on ne pourrait soupçonner. Il a des vêtements chauds en laine et en lin. une fine cotte de maille non pas faite en mithril mais en orichalque peut le protéger des coups bien qu'il n'ait pas d'ennemis particulier. Il a de solide bottes de cuir et une capeflottant dans le vent du matin.
Caractère: Sigvahad est un garçon doux ne cherchant jamais les disputes. Cependant sa grande susceptibilité est un de ses défaults principal. Il aime s'amuser et se faire des amis. Aussi intrepide et courageux que doit l'être un viking, cet homme a peut être un peu de cette folle témérité si dangereuse. Il aime rire mais sait rester sérieux quand il le faut et garder son sang froid dans les situations critiques. Il est très déterminée lorsqu'il s'agit de venger une personne chère.
Peuple/Clan: Il faisait parti du clan du Nord, l'un des plus reculé du monde. Sompeuple a été décimé par une nuée de monstres étranges et terrifiants venus sans doute des profondeurs.
Histoire: né dans un village du grand Nord, Sigvahad vécut longtemps parmi les siens. Il habitait là où la nourriture se fait rare et où l'hiver est rude, très rude. Son peuple était fier mais affamé. Après de grands débats dans le conseil des villes nordiques, une expédition fut organisée afin d'essayer de trouver de la nourriture et autre biens précieux. Sigvahad n'était qu'un petit garçon lorsque son père partit là bas. Ils revinrent quelques dix ans après chargés de marchandises bonnes et abondantes. Le Nord se mourrant lentement reprit espoir et la vie reprit normalement. Cependant aucun des marins ne voulut dire le secret de leur richesse. Seul Sigvahad informé par son père connut le terrible secret de leur réussite. Voguant parmi les mers brumeuses, ils avaient atteint une ile où était prisonnière une ravissante jeune fille. Elle était belle comme le jour et la nuit réuni tell l'aurore aux doigts de rose se levant le matin. Elle promit aux matelots richesses à foison si ils la libéraient. Ce qu'ils firent aisément. La fille tint parole et leur offrit les marchandises de mandées. Cependant l'un des matelots, épris de la jeune fille voulut l'emmener à bord. elle accepta et se joint à l'équipage. Quelques jours après le début du voyage retour, le matelot amoureux disparu. Un second marin tomba alors amoureux de la jeune sirène et disparut aussi quelques jours plus tard. 7 matelots tombèrent en tout des mains de cette ravissante créature. Finalement, une mesure terrible fut prise afin d'éradiquer le fléau qui était monté à bord. On l'attacha à un rocher et la laissa à la mer qui 'lengloutirait bien assez tôt. AU moment où l'eau allait la recouvrir elle proféra cette malediction ! Quoi ? vous osez m'abndonner à la mer après avoir pris toutes mes richesses ? ah pourceaux ingrats ! je vous maudits ! et tout votre peuple ! que les monstres du Tartare mangent vos entrailles pourries ! puis elle disparut comme par magie.
La malediction que la jeune fille predit se réalisa malheureusement bien vite. Des monstres terrifiants comme jaiillit d'outretombe attaquèrent le grand Nord. Ils arrivaient de toute part, tuant, ravageant, et détruisant TOUT sur leur passage. Des meutes de créatures semblablesà celle de nos cauchemars. Sigvahad, poursuivit par une créature, fuit mais il fut rapidement bloqué. La village était construit au bord d'une falaise, et il se retrouvait à présent au bord du précipice, sans issue possible. Au moment où la créature s'apprêttait à bondir, Sigvahad recula dans un soubresaut de peur et tomba. Cependant, la déesse de l'air sauva en lui remettant deux présents : Lumi, une petite fée semblable à sphère ailé qui deviendrait son amie et une épée magique : la légendaire Aerendil, épée des vents. Celle ci se présenta sous la forme d'un grand voile qui lui servit de parapente. Sigvahad s'en servit fort adroitement et atterit dans une clairière au milieu d'une épaisse forêt. Son voile reprit sa forme d'épée et il put lire en runique (il connaissait cette très ancienne écriture car ses ancêtres l'utilisaient) gravé dans la lame magique : Aerendil épée des vents, joyaux de Wilya. Il sut que c'était elle qui l'avait sauvé et se jura de la vénérer jusqu'à sa mort. Puis il se résolut, avec l'aide de lumi, de visiter la forêt dans laquelle il était tombé. La même forêt investit par une certaine compagnie....
Dieu : Wilya ma déesse protectrice qui m'offrit mon épée.
compagnon : Lumi (de son vrai nom lumiendil) petite sphère ailée fort sympathique et curieuse.
pouvoir : Sigvahad possède une aptitude innée pour la course à pied. Il peut ainsi se déplacer très rapidement sur de longues distances. Associé au pouvori parapente de son épée, il peut planer assez haut pendant longtemps. Un don pour le maniement de l'épée, lui fut aussi accordée.
Autre : Aerendil est une arme d'une rare beauté (normale elle est divine) Sa poignée finement ciselé dans un métal bleu est serti d'un cristal à son bout. Une sorte d'éclair apparait à sa garde. Peut être est-ce un autre pouvoir del'épée mais il n'y a aucun indice dessus. La lame blanche et tranchante de l'arme est magnifique et une aura impalpable flotte autour d'elle.
aucun signe particluier si ce n'est une légère cicatrice sur l'omoplate gauche dont la signification ne sera donnée que plus tard....
Clan : Il arrive tout juste du Grand Nord. Il ne sait pas encore le conflit qui ravage mirithil et Glarium
Et voilà comment vous trouvez ?
Lun 12 Nov - 15:30
